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Je crois que je resterai toujours étonnée par ces expériences en séance. Et finalement, c’est peut-être ça la clé : garder l’émerveillement. Parce que le jour où je ne ressentirai plus cette étincelle, ce frisson, cette surprise… ce sera le signe que ce n’est plus pour moi. Car l’humilité doit toujours rester au cœur de mes séances.

🌳 Lâcher prise en automne : apprendre des arbres En automne, la nature nous offre une leçon précieuse. Les arbres se délestent de leurs...

Lorsque les flocons s’accumulent, leur force change radicalement. Une petite quantité peut bloquer une route, une grande masse peut provoquer des avalanches, changer le paysage et causer des dégâts importants.

Alors, que veux-tu faire de ton passage sur Terre ? Quel impact souhaites-tu laisser : sur ton entourage, dans le monde ? Comment veux-tu réaliser ta vie ?

Une rencontre inattendue devant la boulangerie Il y a quelques temps, en allant chercher une baguette, je croise un homme d’une...

Le bonheur est unique, personnel, mouvant. Et si le vrai secret était de laisser chacun trouver sa propre définition ?

Et si cette voix-là… c’était justement mon dernier espace de liberté ? Celui qu’on ne peut ni tracer, ni contrôler, ni confisquer. Et dans ce monde où tout devient traçable, l’espace intérieur reste un sanctuaire. Parce que personne ni un État, ni une institution, ni une machine ne peut mettre un code d’accès sur ce que tu ressens dans ton ventre, ton cœur, ton âme.

On vit à une époque où tout semble devoir rentrer dans des cases. Même la spiritualité, qui devrait être un espace de liberté et d’ouverture, tourne parfois au : « Fais ce que je dis et tais-toi. » Et honnêtement, je ne m’y retrouve pas. Parce que cette multitude de posts, d’articles, de vidéos, finit par faire culpabiliser. Parfois, je me sens même en décalage avec “l’image” de la spiritualité telle qu’on la vend aujourd’hui.

“Ah ouais, tu manges que des graines non ?” “Du coup tu vois les morts ?” “Donc dès que t’as une question tu tires le tarot ?” “Non mais en vrai, t’y crois à ces conneries ?” “Tu savais qu’avant, on brûlait les sorcières ?”