✨ Et si notre voix intérieure était notre dernier espace de liberté ?
- Laurie

- 28 août
- 2 min de lecture
Il y a toutes ces voix qu’on entend dehors.
Les injonctions. Les avis. Les « tu devrais », les « c’est comme ça qu’il faut faire ».
Et puis, il y a une autre voix.
Plus douce. Plus discrète.
Celle qu’on n’entend que lorsqu’on prend le temps de se taire.
Cette voix intérieure on l’appelle intuition, conscience, âme, guidance…
Certains disent même Dieu.
Cette voix-là, je l’ai suivie comme on suit une étoile.
Même quand tout autour me criait l’inverse.
Et puis un jour, une question m’a traversée :
Et si cette voix-là… c’était justement mon dernier espace de liberté ?
Celui qu’on ne peut ni tracer, ni contrôler, ni confisquer.
🌿 L’extérieur se resserre, l’intérieur devient refuge
Le monde extérieur change.
Il se structure, se digitalise, se resserre.
QR codes, passeports, IA, algorithmes, censures invisibles, pression sociale…
À l’extérieur, tout est mesuré, calculé, catégorisé.
Et dans ce monde où tout devient traçable, l’espace intérieur reste un sanctuaire.
Parce que personne ni un État, ni une institution, ni une machine ne peut mettre un code d’accès sur ce que tu ressens dans ton ventre, ton cœur, ton âme.
🌿 La voix intérieure : notre dernière souveraineté
Cette voix, c’est ton phare.
Elle ne dépend pas d’une validation extérieure.
Personne ne peut te dire « elle est juste » ou « elle est fausse ».
Elle est à toi.
Tes intuitions, tes ressentis, tes pressentiments…
C’est ton territoire.
Ton espace de souveraineté.
Et peut-être que si, parfois, on nous pousse à douter de nous-mêmes, c’est justement pour nous couper de ce lien précieux.
🌿 Le danger de toujours chercher “dehors”
Depuis quelques années, on est devenus accros aux réponses extérieures.
On consulte les avis, les experts, les chiffres, les validations.
On scrolle, on compare, on cherche des preuves.
À tel point qu’on en oublie de se demander :
“Et moi, au fond… qu’est-ce que je ressens ?”
On cherche dehors.
Ce qui est déjà dedans.
🌿 Écouter sa voix intérieure, c’est un acte de résistance
Pas une résistance qui crie ou qui se bat.
Mais une résistance silencieuse.
Une résistance douce.
C’est dire :
« Je choisis d’écouter ce que je ressens profondément,
même si ça dérange,
même si ça va à contre-courant. »
C’est un acte simple.
Mais dans un monde qui nous pousse à douter de nous-mêmes,
c’est un acte révolutionnaire.
🌕 On peut nous enlever des droits.
On peut réduire nos espaces.
On peut tracer nos faits et gestes.
Mais il y a une chose qu’on ne pourra jamais confisquer :
ta voix intérieure.
Cette voix libre. Vivante. Subtile.
Alors écoute-la.
Honorer cette voix-là, c’est honorer la vie en toi.
C’est redevenir souverain de l’intérieur.
Et c’est peut-être… le début d’une autre révolution.
Une révolution d’âme.








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